lundi 31 mars 2008

Formation le mardi

COACHING : MARDI, LE JOUR IDEAL DE LA FORMATION.
Soyons réaliste et acceptons que le mardi soit la meilleure période de la semaine pour se former.
Regardons la réalité en face.
Lundi, j'atterris, dans l'ennui, la douleur ou l'extase ; et je m'organise. Mardi, je bosse, sérieux. Mercredi, je suis en pleine ascencion, à fond. Jeudi, je rattrape mon retrad et, dans ma précipitation, je dérappe. Vendredi, je suis fourbu. Samedi, je m'éclate, chez moi. Dimanche, je suis ailleurs. Etc.
Autrement dit.
Lundi, je n'ai pas le coeur à me faire sermoner. Mardi, je suis prêt à écouter. Mercredi, je veux avancer. Jeudi, je veux me concentrer sur l'essentiel. Vendredi, ma tête est malade. Samedi, je ne fais que ce que je sais déjà faire. Et Dimanche, c'est le jour du Seigneur : je ne dois pas travailler.
Un bon calendrier hebdomadaire pourrait ainsi être le suivant.
Lundi matin, je me lance dans les tâches que j'apprécie le plus. Lundi après-midi, je me lance dans les tâches prioritaires. Mardi matin, je me forme. Mardi après-midi, je mets en pratique ce que j'ai appris ou révisé le matin. Mercredi et Jeudi, je travaille à fond en m'appliquant à appliquer ce que j'ai appris qu'il me faudrait appliquer. Vendredi matin, je me lâche et je fais ce que je peux comme je peux. Et vendredi après-midi, je termine avec une note à moi qui me donne de l'espoir à moi.
Ainsi donc, plaçons la formation le mardi matin.
Avant d'arrivée, je me mets déjà en situation de stagiaire : je peux tout faire mais surtout tout mieux faire. Bref, je suis presque con, tout juste bon à me faire taper sur les doigts pour progresser. Une fois arrivée, à l'heure, bon éléve, je m'installe pour apprendre. En réunion si telle est l'organisation, seul si aucune réunion n'est orgnanisée. Et là, je potasse. Je fais des exercices, avec application et avec diligence. Je suis le programme, pas à pas, comme un écolier docile. Et comme un écolier, je m'applique, je bachote, je m'ennuie et je m'évade. Pour une période donnée fixée à l'avance : ni trop, ni trop peu. Et hors de question d'allonger pour fuir le travail ou de réduire pour bâcler.
Conclusion : C'est décidé, mardi, je me forme. Et ma première session sera pour me fixer un programme.
BRAVO LE COACH.

lundi 24 mars 2008

Attention : Turnover annoncé !

Le turnover est ce mouvement qui permet de renouveler les forces de vives de l'entreprise. Mais attention : point trop n'en faut.

Je ne m'étendrais ni sur les bonnes raisons ni sur les bonnes manières de le limiter. Je partirais sur une hypothèse simple : il est là et il faut faire avec. De son fait, vos équipes sont parfois assez larges et parfois trop étroites.

GoCialum est une ressource ponctuelle. GoCialum vous aidera à élargir vos équipes et à ne le faire que lorsque c'est nécessaire. Les avantages de cette formule apparaissent alors en évidence :
* Les causes des difficultés à fidéliser les vendeurs étant acceptées, GoCialum se consacre à l'activité de vente sans chercher à les comprendre
* La formation étant dispensée uniquement la première fois, GoCialum est vite opérationnelle à chaque nouvelle intervention
* Gocialum n'étant là que lorsque les équipes sont en faiblesse, vos équipes ne sont ni en sur-population ni en sous-population
* GoCialum étant là même si tous vos vendeurs vous ont quittés, votre activité de vente se maintient.

Alors, pourquoi attendre avant de contacter GoCialum !

mercredi 19 mars 2008

7 A Faire


Chacun sait que l’action sans préparation mène à la difficulté et que trop de préparation nuit à l’action. Chacun de nous constate donc qu’il lui faut établir l’équilibre entre la préparation de l’action et la conduite de l’action.
Je propose ici un document d’aide à la construction de cet équilibre : la ToDoList. Un nom anglo-saxon qui sonne plus drôle qu’un libellé français à caractère plus administratif que serait : « la (longue) liste des tâches à faire (impérativement) ».
Et maintenant, tous à votre ToDoList.

La ToDoList : De l’art de poser vite un programme court d’actions prioritaires.

A/ Synthèse.
La ToDoList est un instrument simple d'assistance à la conduite des actions pour aller vite et droit sur le but à atteindre. A consommer sans modération.

B/ Contexte.
Une suite de tâches à réaliser, voilà ce qu'est une journée de travail. Une journée est une période finie. Le travail est sans fin. Ainsi donc, il faut remplir sa journée des seules tâches qui sont à réaliser et qui peuvent être réalisée dans la journée. Cet exercice est simple dès lors que chaque jour est identique au précédent. Il est plus difficile autrement. Il devient délicat quand la charge de travail est a priori impossible à abattre dans la journée.Il en va de même pour toute période : l’heure, la ½ journée, la semaine, l’année, etc.

C/ Objectif.
L'objectif de la ToDoList est de fixer la sélection des tâches à réaliser dans une période donnée, par exemple la journée.

D/ Format.
Un nom de période comme titre de la ToDoList.
-- Colonne N°1 : Libellé mnémotechnique de la tâche à réaliser
- Colonne N°2 : Case à cocher quand la tâche est accomplie
- Colonne N°3 : Notes d'aide à la réalisation de la tâche (Descriptif, N° de tel, Objectif).

D/ Mode d'emploi.
1/ Remplir les colonnes N°1 des lignes, les unes après les autres, sans dépasser la 12ème ligne
2/ Se concentrer sur les tâches principales et éviter de noter les tâches accessoires
3/ Noter en privilégiant l'ordre dans lequel les tâches viennent à l'esprit sans s'obliger à les classer par priorité
4/ Réaliser les tâches inscrites sur la liste, les unes après les autres
5/ Commencer par exécuter les tâches qui peuvent être exécutées aisément à cet instant mais difficilement à d'autres moments
6/ S'obliger à exécuter toutes les tâches dans le délai imparti
7/ Conserver la To Do List terminée jusqu'à la saisie de la prochaine ToDoList.

E/ Moyens.
La note manuscrite sur une feuille de papier ½ A4 ou inférieur est un moyen efficace : rapide à mettre en œuvre, disponible partout, peu encombrant et facile à utiliser.

lundi 10 mars 2008

Vive les élus ! Vive les chefs d'entreprises !



Pour un développement local, élus et chefs d'entreprise, même combat. C'est en ce sens que GoCialum avance.




On ne peut pas être français, responsable, engagé dans la vie économique locale et curieux sans évoquer ce jour les élections municipales. Alors, voilà mon petit mot.
Je tire mon chapeau à tous ces citoyens qui s’engagent dans la vie publique. Ceux qui font de la politique leur métier mais aussi, voire surtout, ceux qui conjuguent une activité économique avec une activité de gestion des biens communs. Oui, je leur dis à ces derniers « Chapeau bas, merci et bravo. » Ils nous rappellent que nous, les chefs d’entreprise et les commerciaux, nous sommes parfois si ce n’est souvent des individualistes accomplis.

Je m’amuse à constater d’une part qu’ils luttent entre eux depuis des années pour faire adhérer le plus grand nombre à leurs théories, leurs principes, leurs programmes et d’autres part que les municipalités se ressemblent entre elles. Je suis étonné du classement des villes par appartenance politique alors qu’il faudrait les classer par méthode de gestion et profil de dirigeants pour avoir une véritable photographie de ce qui fait un succès et de ce qui fait un échec. Il faudra bien un jour établir les bonnes méthodes de gestion et les bons profils de gestionnaire. Dans le monde des affaires, les clients, les actionnaires, les salariés et les concurrents obligent à un ajustement permanent des pratiques concrètes. Nos plus brillantes personnalités politiques vivent dans un cocon douillet au regard de ce qu’un chef d’entreprise vit au quotidien. Sur ce point, il est très drôle de voir qu’un élu se sent installé « dans un fauteuil » alors qu’un dirigeant d’entreprise est un pilote sur « un siège éjectable » !

Force est donc de constater que les uns ne pourront pas comprendre les autres à chaque fois tant leurs approches des idéaux et des réalités sont différentes. Ils sont donc de fait amenés à cohabiter sans pourvoir se comprendre. Que les uns laissent les autres agir et inversement. Puissent les chefs d’entreprise apporter la prospérité locale et les élus la sérénité à tous les administrés.

En application de cette philosophie, GoCialum accompagne les chefs d'entreprise dans leurs efforts pour réussir, agissant ainsi pour favoriser le développement du tissu économique local. Pour créer la richesse locale, il faut créer des résidents. Pour créer des résidents, il faut créer des emplois locaux. Pour créer des emplois, il faut des employeurs et pour motiver ces employeurs, il faut du succès. En aidant les employeurs, GoCialum aide les élus à réussir le développement de leurs circonscriptions.


Vive la République !
Vive l'Europe, vive la France et vive la Normandie !



Bruno de GoCialum. www.GoCialum.com.

dimanche 2 mars 2008

De l'art d'argumenter



De l'art et la manière de convaincre sa femme de changer de voiture ; ou inversement. Voici une petite anecdote familiale de post-week-end qui est passée ailleurs que chez moi mais qui aurait pu s'y passer ...



Scène 1 : (Ils prennent ensemble leur petit-déjeuner.)
Lui : "Je pensais à notre voiture. Elle est vieille. On la change."
Elle : "La voiture n'est pas vieille. On la garde."
Eux deux : " Bon. Nous en reparlerons quand nous serons mieux réveillés."
Conclusion : Ils gardent leur voiture en attendant d'en rediscuter.

Scène 2 : (Dans la matinée, après que lui vienne juste de terminer un coup de fil qu'il a cru discret.)
Lui : "Chérie, on change de voiture. Ça ferait plaisir à la femme du garagiste."
Elle : (Silence)
Eux deux : (Grand silence)
Conclusion : Ils gardent leur voiture.

Scène 3 (Lui revient vers elle, semble-t-il sortant du garage.)
Lui :"La voiture a dix ans. Dix ans, c'est vieux pour une voiture. On la change."
Elle (assise entourée de factures) : "L'an dernier nous avons changé le moteur, la suspension, les freins, les pneus et même les tissus intérieurs. Elle est vieille mais rénovée. On la garde."
Eux deux : "A lire tes chiffres, elle consomme peu et elle est sûre. En plus tu dis qu'elle plaît aux enfants."
Conclusion : Ils gardent leur voiture.

Scène 4 (Lui revient avec à la main une feuille pleine d'opérations)
Lui : "Eh ! Chérie, j'ai refait tes calculs. En fait, la voiture, elle n'est plus fiable, elle coûte cher en entretien et elle consomme beaucoup trop. On la change."
Elle : "Ah bon ? Mais, les enfants y ont collé un autocollant qu'ils adorent. Donc, on la garde, non ?"
Eux deux : (Silence)
Conclusion : Ils changent de voiture.